Ce blog est un espace de lecture et d'écriture, de création et d'échange, autour de la littérature. Il est l'oeuvre de Premières du Lycée de l'Iroise à Brest (France) et d'élèves apprenant le français au Liceo Cecioni à Livourne (Italie) dans le cadre d'un projet eTwinning. "Ecrire ne saurait être qu'un acte de fraternité avec la poésie de ses semblables" (Georges Perros)
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Écouter enfinécouter autrementvivre sept ou neuf viesvoyageuse de tous les lieux D'espace en espaceje suis le proche et le lointainpetite soeur de toutes les femmessur cette ligne de partage des âmes Traversée des mondes et des signesla tête pleine et...
nuit, elle danse, elle et nous dans le noir, puis, lumière au loin nous éclaire, elle et nous dansons, enivrés par la nuit jusque tard le matin, dans la nuit lente danse, rit jusqu'au matin des au-revoir
Konstantin Simonov, durant la Seconde Guerre Mondiale
De nos jours, la littérature, sous toute ses formes, est vaste et riche. Mais si l'on connaît tout des oeuvres de Rimbaud, Goethe ou même Shakespeare, on ne parle pas souvent des créations russes....
"Un enlacement, un dernier contact. Un ultime baiser. Un geste, un dernier signe". Je l'ai traduit en italien, ce qui donne : "Un abbraccio, un ultimo tocco. Un bacio finale. Un gesto, un ultimo segno". Une pensée à nos amis transalpins !
Nos pas côte à côte à déambuler, à résonner, laisse un silence chaleureux, je parle peu, je marche alors, encore et encore, dans une douceur grise et la vie s’immobilise, je pose des pas dans le ciel tombant, perdu, je reste suspendue ou juste absent,...
J'ai décidé de mettre en relation le poème ci-dessous (14 p.39) du recueil, avec l'extrait d'un épisode de la série The 100. ( Je conseille donc aux spectateurs de la série de ne pas lire l'article avant de voir l'épisode concerné ) " [...] La chaleur...
L'extrait dont j'aimerais parler est celui de la page 16 nommé "Homologie" qui est une lettre écrite par Antonin Artaud et adressée à Jean Paulhan. Puisqu'il faut choisir cinq mots ici pour le représenter, voici ceux qui pour moi lui conviennent le mieux:...
Lire un poème fait appel à l'imagination. En effet, elle est transportée dans une spirale qui finira par aboutir ensuite à sa propre interprétation. Ce qui est merveilleux, c'est de voir que chacun ne pense, ne comprend pas, et ne ressent pas de la même...
L’avez-vous vu ? Il portait la liberté dans ses bras et il avançait d’un pas décidé la tête haute, malgré les blessures… Comme la liberté aurait été belle et universelle d’être ainsi portée dans les bras du monde… Si seulement il avait été respecté de...
Mon poème préféré du recueil est celui de la page 17-18 car c'est le moment où nous comprenons le titre. Il évoque aussi beaucoup de sentiments et d'incompréhension. L'accident d'Hadrien est-il dû à son amour pour Adèle? Source
J'ai choisi de faire ce dessin pour identifier les enfants de Syrie auxquels Maram al-Masri fait référence dans son recueil. En le lisant, j'avais des images plein la tête de ce qu'elle pouvait raconter de beau et troublant à la fois. J'ai donc décidé...
des douleurs, des secrets, trop tard ils se disent adieu c'est ensuite dans les boîtes, tu et je qui nous regarde ensemble est brûlant qu'ils ne se disent pas adieu
"J'ai peur d'écrire. D'écrire des mots que personne n'entendra. Qui entend les voix qui hurlent entre les murs ? Qui écoute la peur ? Qui voit les chairs déchiquetées, les blessures, les larmes ? Personne." - Perrine Le Querrec Traduction anglaise : "I'm...
La poésie de Zéno Bianu, c'est un rêve éveillé qui nous fait songer à la valeur de la vie tout en faisant danser notre esprit et nos sentiments ensemble.
Le cauchemar interminable, Qui ne recommence nulle part, Les cris de sa victime, Un déluge d'angoisse après le supplice, Les fils se droguent en pensant aux traces de leur crimes, L'eau rouge lavée par les morts, Ni le silence, ni le suicide, Il faut...
Si ce poème était un animal il serait une loutre. Si ce poème était un lieu il serait la rue Jean Jaures. Si ce poème était une couleur il serait du rosange. Si ce poème était film il serait "Fight club". Si ce poème était une fleur il serait un coquelicot....