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Le passage qui m'a le plus marquée est lorsque Jim casse la corne de la licorne en verre de Laura. Il se sent tellement coupable qu'il se laisse tomber par terre et s'excuse d'une voix piteuse à la jeune fille qui elle ne répondera pas tout de suite....

Golgotha et D’intérieur Dans la catégorie Dans le viseur du site de Cécile Portier, on peut remarquer que la deuxième personne est omniprésente et plus particulèrement le tutoiement. Cette utilisation de la deuxième personne est souvent en lien avec des...

Je propose de renommer le recueil « Diafragm » en « Animalité humaine », car à travers les différents poèmes j’ai remarqué cette idée de transformation en animal, quel qu’il soit, comme par exemple un « chien », un « chat », un « ours ». Cette idée vient...

Le recueil de Rémi Checchetto, nous, le ciel , peut paraître bien mystérieux à sa première lecture. On peut se perdre dans ces 95 pages écrites entre les lettres desquelles se faufilent toujours un petit bout de ciel. On peut s'y perdre comme on s'y perd...

Le décor de la pièce « La ménagerie de verre » était particulièrement original, car au premier plan on retrouvait comme un 4ème mur qui séparerait les spectateurs de la scène : un grand rideau transparent avec devant la collection de verre de Laura que...

We We are looking for a voice We are looking fort a voice in the dark. we We are looking for the road the day and the rain — we are looking for the picture We are looking for an history something for the future A way We [...] Nous nous cherchons une voix...

J'ai remarqué que juste avant la scène de l'arrivée de Jim, le grand rideau transparent qui jusqu'alors plongeait la scène dans une atmosphère opaque, est tiré, comme si l'arrivée de Jim faisait un peu entrer dans la réalité cette famille plongée dans...

Mon poème préféré de Lucien Suel est le Poème express n° 635 car je le trouve très beau. Mais il est également très visuel : en lisant ces phrases perdues dans des vagues noirs on s'imagine très bien la scène. Et puis, finir ce poème sur une phrase toute...

Ta vie les bras croisés, à attendre et regarder.Tu poses comme si on t’avait posée là. Tu poses parce que je te l’ai demandé. Toi tu es plantée là, au milieu de la ville, tu es plantée là contre l’arbre, comme pour grandir avec lui. source

J'ai apprécié ce recueil, car la façon dont Mathilde Roux écrit est d'une modernité et d'une originalité introuvables ailleurs. Le recueil est parfaitement bien expliqué, les mots sont modernes, vivants, incroyables. Il est à lire et à relire !

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