Lorenzaccio - Visions
Te voilà, toi, face livide ?
L'arrivée de la lune marque un arrêt dans le long monologue de Lorenzo qui, pris dans sa totalité, peut être comparable à une sorte de promenade. Une promenade interne du héros qui voyage dans les méandres de son âme tout en nous faisant croire qu'il s'y perd. Il explore la moindre pensée qui l'effleure tout en la retranscrivant avec éloquence et passion : il marche d'un pas déterminé.
Lorenzo n'est rien de plus que le randonneur que l'on peut voir sur l'image ci-dessus et qui s'arrête dans une éprouvande balade pour contempler l'éclatante beauté de la lune.